Verini (PD). Un pdl contre l'évasion fiscale et pour une gestion plus transparente des jeux publics

(Jamma) Un texte de loi pour prévenir l'évasion fiscale et l'infiltration criminelle et accroître la transparence dans la gestion par les entreprises des activités du secteur des jeux et paris, c'est ce que le député Walter Verini entend faire à travers la proposition présentée ces jours-ci à la Chambre.

Dans l'article 1 de la projet de loi qui dans la législature précédente avait été présentée comme le premier signataire, par l'Honorable Jean Léonard Touadi, l'utilisation des agents de l'Administration Autonome des Monopoles d'Etat (AAMS) et des Forces de Police aux fins d'acquérir des éléments de preuve en relation avec la violation des règles sur les jeux publics. L'article 2 prévoit la responsabilité solidaire : des représentants légaux, des administrateurs, même de fait, et des associés des sociétés par actions de moins de quatre associés, des sociétés à responsabilité limitée et des sociétés de personnes.

Une amende administrative de 100.000 200.000 à XNUMX XNUMX euros est introduite pour les personnes qui, pour quelque raison que ce soit, mettent en œuvre ou promeuvent des campagnes d'information et de publicité en Italie en faveur des étrangers qui collectent des jeux en Italie et pour ceux qui exercent des activités de jeu dans la région pour le compte d'opérateurs de jeux non agréés par l'AAMS.

La disposition introduit une sanction pécuniaire contre le joueur, proportionnelle au montant joué sur Internet chez les opérateurs de jeux non autorisés à percevoir en Italie. Dans le cas où le joueur alimente des comptes de jeu détenus par des opérateurs non autorisés, il est puni non seulement de la sanction liée au montant joué, mais également d'une amende égale au double des sommes transférées sur le compte de jeu. En outre, le régime de sanctions, prévu par l'article 110, alinéa 9, du texte consolidé des lois de sécurité publique (TULPS), conformément à l'arrêté royal du 18 juin 1931, n. 773, au sujet des machines à sous avec des prix en espèces, augmentant les sanctions pour quiconque favorise la disponibilité sur le marché ou permet aux joueurs d'accéder à des machines à sous avec des prix en espèces, qui ne respectent pas les caractéristiques et les exigences indiquées aux paragraphes 6 et 7 de l'article 110 du TULPS. L'article 6 affirme un principe de validité générale selon lequel les sociétés opérant dans le secteur des jeux, afin d'obtenir et de conserver les licences relatives, doivent divulguer l'identité des propriétaires effectifs des actions. Il existe une obligation pour les sociétés fiduciaires et trusts qui détiennent, même indirectement, des parts dans le capital ou les actifs des concessionnaires de jeux publics, de déclarer l'identité du mandant. L'obligation est également étendue aux fonds d'investissement, pour lesquels l'obligation est limitée aux personnes qui détiennent une part de plus de 5 pour cent des actifs concernés. La participation aux procédures publiques relatives aux jeux par les participants, même indirectement, par l'intermédiaire de sociétés fiduciaires, de fiducies ou de fonds qui ne déclarent pas l'identité du mandant, est également interdite.

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