STS membre du comité consultatif de l'AAMS sur le jeu pathologique

Russie. Il acceptait des paris pour plus d'1 million d'euros par jour, un site illégal saisi

 

 

Du Canada, un outil valable pour lutter contre le jeu pathologique
 

(Jamma) L'Observatoire des risques d'addiction au jeu, mis en place en avril auprès de l'Agence des douanes et des monopoles en application de la loi Balduzzi, est devenu pleinement opérationnel. Après les deux premières réunions de l'Observatoire tenues en avril et juin, le Comité consultatif d'accompagnement composé de représentants des partenaires sociaux s'est réuni pour la première fois le 25 juillet.

L'un des sièges de la grande table était occupé par le président national de STS, Giovanni Baglivo. Notre Union, - lit le total du Syndicat des Sports Totoricevitori -, suite à sa demande expresse, a été formellement incluse dans la composition du Comité consultatif qui, désormais, soutiendra le travail difficile de l'Observatoire dans la recherche de solutions plus adapté à la prévention des risques liés à la dépendance au jeu.

Nous avons fortement souhaité être présents dans cette importante instance institutionnelle, afin de porter la voix de nos associés, les buralistes qui réalisent la collecte physique des jeux publics.

En ce moment historique particulier, où le jeu est présenté comme l'une des principales causes de ruine des familles italiennes, nous avons décidé d'apporter notre contribution à la sacro-sainte protection de la santé, sans toutefois oublier les raisons de notre catégorie.

En revendiquant l'appartenance à la partie saine du jeu, en effet, nous pensons pouvoir garantir le bien de la communauté en ciblant sélectivement les méthodes et lieux de jeu dangereux (salles ALV et internet) en préservant les offices de paris où, comme toujours, le jeu a sa fonction naturelle de divertissement pur et de loisirs innocents et sûrs

Article précédentPistoia : le club Arci prêt à payer pour interdire les machines à sous
prochain articleCodacons dénonce les monopoles d'État auprès du procureur et de l'antitrust pour la nouvelle publicité sur les cartes à gratter