La procédure avait débuté en 2013 contre un commerçant qui disposait dans ses locaux de totems connectés à Internet permettant aux clients d'accéder à des portails de jeu tels que la roulette, les machines à sous et le poker. Le maniement de l'argent…

Pour lire cet article

Connectez-vous ou inscrivez-vous

Article précédentLe 16 mai, SAPAR rencontre Bova, Distant: "En Calabre, des changements urgents à la loi régionale"
prochain articleSavone, Carrozzino (Asl 2) : ​​'La ludopathie présente d'importantes 'submersion'