Minimums garantis, au Journal officiel les ordonnances du Tar qui posent la question de la légitimité constitutionnelle

(Jamma) Les huit ordonnances avec lesquelles le Lazio TAR fin janvier a soulevé la question de la légitimité constitutionnelle dans les recours déposés par les agences de courses de chevaux contre la demande de minimums garantis ont été publiées au Journal officiel. Le Tar a demandé à la Consulta de vérifier la constitutionnalité (par rapport aux articles 3, 24, alinéa 1, 103, alinéa 1, et 113 de la Constitution) de l'art. 10, paragraphe 5, du décret-loi du 2 mars 2012, n. 16, converti par la loi du 26 avril 2012, n. 44 - « dans la partie où il dispose qu'« en vue d'une plus grande efficacité et rentabilité de l'action dans les secteurs de compétence, le ministère de l'Économie et des Finances - Administration automatisée des monopoles d'État, le ministère de l'Agriculture, Politiques alimentaires et forestières et l'Agence pour le développement du secteur des courses hippiques - ASSI, procèdent à la définition, également dans un règlement, après consultation des organes compétents, avec abandon de tout litige en cours, de toutes les relations controversées dans les matières connexes et selon les critères indiqués ci-dessous : .. b) en ce qui concerne les quotas de retrait conformément à l'art. 12 du décret du Président de la République du 8 avril 1998, n. 169 et ajouts connexes, définition, sur une base équitable, d'une réduction n'excédant pas 5 pour cent des sommes encore dues par les concessionnaires visés dans le décret précité du Président de la République no. 169 de 1998 avec identification des modalités de paiement des sommes relatives et ajustement des garanties. En conséquence de l'art. 38, alinéa 4, du décret-loi du 4 juillet 2006, n. 223, converti, avec modifications, par la loi 4 août 2006, n. 248, lettre l) est supprimée' ». C'est la règle qui, pour résoudre la question des minima, accorde aux agences une réduction de 5% sur les sommes dues. Les agences cependant, grâce au Lodo di Maio (actuellement contesté devant la Cour d'appel de Rome) et en vertu d'une série de sentences du Lazio Tar lui-même, ont obtenu le droit de ne pas avoir à payer les minima jusqu'à l'adoption par le Mef des mesures de sauvegarde.

Article précédentSuisse. Une nouvelle baisse des recettes (-8,2%) malgré les deux nouveaux casinos
prochain articleGênes. Pour le Tar, la règle municipale qui interdit l'installation de créneaux à moins de 300 mètres d'une église (même s'il s'agit d'un bureau de tabac) est légitime