AS.TRO explique à Politics le "pouvoir des lobbies du jeu"

Lobby au Parlement. Giovanni Endrizzi (M5S) critique la réaffectation de la délégation des jeux à l'hon. Giorgetti

 

(Jamma) « L'expression « lobby du jeu » est très gonflée, et il serait insensé de la contester si elle se limitait à décrire le phénomène du « groupe de pression » qui tente de défendre ses intérêts. De plus, il semble que même le système politique en soit doté, sous forme de protection des prérogatives internes respectives, et donc il n'y a pas de profils d'appréhension sur le point", écrit l'association Assotrattimento dans une note, "Cependant, lorsque des proclamations publiques sont faites pour lever la garde contre les « puissants lobbies du jeu » (ils seraient même multiples), il faut au moins être « informé » des faits :

1. L'industrie légitime du jeu a appris par des sources de presse, et non par des rapports institutionnels normaux, que le préfet de police a récemment signé un arrêté interministériel qui sanctionne un investissement "obligatoire" par le secteur des machines d'amusement en récompense qui "vaut 1,5 milliards d'euros", soit près de 100% de l'ensemble du "bénéfice du système pour 2012" (6,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires AWP, dont 50% reversés au Trésor, 50% du résidu reçu d'une composante de la chaîne d'approvisionnement exonérée d'investissement charges, c'est-à-dire les commerçants).

2. L'industrie du jeu légal a "appris" de sources de presse et du registre prétorien, que dans la moitié de l'Italie, les machines AWP ne peuvent pas être allumées pendant la durée des heures d'ouverture des clubs, mais qu'elles doivent respecter un quota horaire établi par les Administrations municipales sans même un simulacre d'"audition" du secteur (ce qui, d'ailleurs, est obligatoire selon la loi).

3. L'industrie légitime du jeu est entrée dans le « viseur » de l'action antagoniste, subissant l'occupation de son siège, le martèlement médiatique sur les sites et sur la SF par les « collectifs sans créneaux », sans que personne ne reprenne l'actualité ni pris la peine d'exprimer la solidarité habituelle et gratuite généralement envers toute personne reconnue par ceux qui reçoivent des attaques de ce type.

4. L'industrie légitime du jeu a été "expulsée" de la Ligurie, et dans les quatre prochaines années, même une machine à sous "légale" ne pourra plus résider sur ce "sol" (l'interdiction ne s'applique pas aux appareils illégaux).

5. L'industrie du jeu licite « vit » dans un état d'« ambiguïté » permanente, étant donné que des « réductions » et des « progrès » cohérents de performance fiscale lui sont nécessaires de temps à autre.

6. L'industrie du "jeu légal" s'oppose aux données - flux - preuves statistiques sur les urgences sanitaires - totalement dépourvues de support scientifique et totalement différentes de la réalité, sans aucun accès à des rectifications contradictoires.

7. Des millions d'euros sont demandés à l'industrie du "jeu légal" pour "la promotion commerciale de produits publics", mais il leur est interdit de faire de la publicité (qu'ils tiennent toujours à maintenir comme envahissante et persistante).

8. Aucune autre entité n'a jamais été soumise à une mauvaise réputation "construite dans les médias à une échelle aussi massive et destructrice" que celle à laquelle le jeu légal a été "fièrement" soumis par tous les radiodiffuseurs et journaux publics et privés.

9. Aucun "produit" (pas même l'amiante) n'a jamais réussi à s'imposer (comme le jeu licite) comme un "fléau national prioritaire (qu'une fois tous les problèmes du pays disparus), dans le cadre de la "pensée généralisée" cultivée par les faiseurs d'opinion.

10. L'industrie du jeu légal est "à la une" pour ses relations avec le secteur du crédit, mais personne ne répond au rapport de cette Association qui dénonce l'impossibilité pour les opérateurs "représentés" de maintenir ou d'ouvrir un compte courant normal dédié à l'entreprise.

Le décorum impose la "troncature" de la liste déjà significative.

Si les Politiques expriment des jugements d'appréhension sur ces puissants lobbies, il convient peut-être qu'une reconnaissance (et une révision) plus ponctuelle des "phénomènes" et des "définitions" soit faite au plus tôt, afin que l'action gouvernementale puisse avoir une portée plus efficace. effet sur les problèmes du pays.

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