Arrêtez Imu. Le décret est en vigueur. Ok pour le créneau du litige d'amnistie

(Jamma) Après la signature du président de la République, le décret-loi controversé du 31 août 2013, n. 102 « Dispositions urgentes en matière d'IMU, d'autres fiscalités immobilières, de soutien aux politiques du logement et des finances locales, ainsi que des traitements CIG et retraite », promptement publié au « Journal officiel » no. 204/2013 aujourd'hui.

 

Comme annoncé hier par Palazzo Chigi, la version finale des 16 articles qui composent la disposition n'inclut pas la déductibilité de 50% de l'Imu aux fins de l'Ires et de l'Irpef pour les propriétés instrumentales des sociétés et le rétablissement partiel de l'imposition aux fins de l'impôt sur le revenu provenant des maisons vacantes et des revenus du propriétaire provenant des terres non louées.

Parmi les changements in extremis de la disposition par rapport au projet approuvé en Conseil des ministres mercredi, figure une clause de sauvegarde réglementée par l'article 15 : dans l'hypothèse où la couverture envisagée par rapport à la hausse des recettes de TVA qui devrait découler des versements des dettes envers les entreprises par l'Administration publique et par l'amnistie sur le contentieux des machines à sous – qui ne devrait pas suffire, le Gouvernement est autorisé à augmenter le montant des avances Ires et Irap et des droits d'accises pour un total de 1,5 milliard d'euros.

Augmentations possibles des avances IRES et IRAP et des accises en novembre
Le ministère de l'Économie surveillera donc plus particulièrement les recettes de TVA : « Si ce suivi révèle une tendance ne permettant pas d'atteindre les objectifs de hausse de recettes indiqués dans les mêmes courriers, le ministre de l'Économie et des Finances, avec son propre décret, à paraître d'ici novembre 2013, fixe l'augmentation du montant des avances aux fins de l'IRES et de l'IRAP, ainsi que l'augmentation des droits d'accises.
Article 14 (Définition simplifiée en appel des jugements en responsabilité administrative-comptable)
1. Compte tenu de l'opportunité particulière d'obtenir rapidement la réparation effective du préjudice fiscal constaté par une condamnation en première instance, les dispositions de l'article 1, paragraphes 231 à 233, de la loi du 23 décembre 2005, n. 266, et ses modifications ultérieures, s'appliquent également aux jugements portant sur des faits survenus ne serait-ce qu'en partie avant la date d'entrée en vigueur de la loi précitée, quelle que soit la date du fait dommageable ainsi qu'à ceux relatifs à des dommages fiscaux survenus dans le la date d'entrée en vigueur du présent décret, sous réserve que la demande de définition soit présentée conformément aux dispositions de l'alinéa 2.

2. Aux fins de l'application des dispositions visées au paragraphe 1, dans les vingt jours précédant l'audience de discussion et en tout état de cause avant le 15 octobre 2013, une demande spécifique de règlement doit être présentée et la somme qui y est indiquée ne peut être inférieure que les 25 % des dommages quantifiés dans la peine de première instance ; dans ces cas, la section des appels délibère en chambre du conseil dans le délai péremptoire de 15 jours suivant le dépôt de la requête et, en cas d'acceptation, aux fins de définir le jugement conformément au paragraphe 233, avec un arrêté qui est communiqué immédiatement aux parties fixe la somme due au moins à celle demandée, fixant le délai impératif de paiement au 15 novembre 2013.

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