Les crédits d'impôt visés aux articles 119 et 121, alinéa 2 du décret-loi n. 34 de 2020, acquis au moyen de "transfert de crédit", dont la légitimité n'est pas vérifiable au moment de la décision, en gardant intact le pouvoir de contrôle par les organes compétents peut être utilisé, en utilisant le modèle F24Accise, pour compenser les sommes dues exigibles comme une taxe unique sur les paris et une taxe unique sur les jeux.

C'est ce qu'a précisé l'Agence du revenu en réponse à une demande de rescrit présentée par une entreprise.

En particulier, le requérant déclare opérer "sur le marché des jeux licites autorisé par l'Agence des Douanes et des Monopoles, notamment, en tant que concessionnaire de l'Etat, dans le secteur "en ligne" des paris sportifs, des compétitions de paris et des jeux en ligne et dans le secteur des compétitions de paris, des paris sportifs, des courses hippiques et des jeux sur le réseau physique à travers la gestion de milliers de points de vente".

Le demandeur est donc assujetti à la taxe unique sur les pronostics des compétitions de paris sportifs, hippiques à cote fixe ou fourre-tout, et à la taxe unique sur les jeux d'adresse à distance avec dotation en espèces, dont la perception est régie par l'article 4, paragraphe 3 du décret du Président de la République du 8 mars 2002, n. 66.

«Dans le cadre de son activité entrepreneuriale, le demandeur a l'intention d'acquérir, par "transfert de crédit", les crédits d'impôt accumulés auprès de tiers conformément à l'article c121 du décret-loi du 19 mai 2020, n. 34.

En application de cette disposition, les sujets qui engagent des frais pour les interventions visées à l'article 119 (dit superbonus) et à l'article 121, alinéa 2 (dite prime pour interventions "bâtiment" autres que le superbonus) du décret en cause, qui donnent droit à déduction, peuvent opter, au lieu d'utiliser directement la déduction, d'accéder à un crédit d'impôt du même montant à d'autres sujets, qui, à leur tour, peuvent utiliser ce crédit d'impôt en compensation, conformément à l'article 17 du Décret législatif 241/1997, sur la base des tranches de déduction résiduelles non utilisées par le bénéficiaire effectif. Le demandeur demande donc «de pouvoir utiliser en compensation, conformément à l'article c17 du décret législatif n °. 241/97, ces crédits avec les sommes dues par le même comme une taxe unique sur les paris et/ou une taxe unique sur les jeux".

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