Au cours de la séance du mardi 6 février, la Commission sénatoriale des finances a entamé l'examen du « Décret législatif schématique contenant des dispositions relatives à la réorganisation du secteur des jeux, à partir du jeu à distance (n. 116) ».

Le rapporteur Fausto Orsomarso (FdI) a introduit la disposition qui "met en œuvre certains des principes visés à l'article 15 de la loi habilitante no. 111 de 2023, contenant les principes et critères directifs pour la réorganisation des dispositions relatives aux jeux de hasard. En particulier, le paragraphe 1 de l'article 15 précité, en déléguant au Gouvernement la mise en œuvre, avec les décrets législatifs visés à l'article 1, de la réorganisation des dispositions en vigueur en matière de jeux publics, confirme le modèle d'organisation des jeux publics basé sur le régime concession et autorisation, en tant que garantie en matière de protection de l'ordre et de la sécurité publics, de la conciliation des intérêts publics généraux en matière de santé avec ceux du Trésor sur l'afflux régulier de la taxe sur les jeux, ainsi que de la prévention du blanchiment de l'activité devient criminelle. Le paragraphe 2 précise les principes directeurs et les critères spécifiques à l'exercice de la délégation en matière de jeux dont il prend analytiquement en compte.

Concernant le contenu, le schéma est composé de 26 articles. En un mot, L'article 1 précise l'objet sous-tendant les règles du décret en question ou celle d'introduire un cadre réglementaire systématique de la réglementation des jeux. La loi prévoit également que les dispositions relatives à la réglementation des jeux joués en réseau physique seront contenues dans un décret législatif ultérieur et que la réglementation des maisons de jeux reste exclue du champ d'application du décret en question. L'article 2 contient les définitions de certains termes utilisés dans le décret. L'article 3 indique les principes juridiques du jeu en Italie qui doivent également être considérés comme des critères interprétatifs des règles relatives aux jeux publics. L'article 4 indique les principes européens en matière de jeux de hasard à appliquer dans l'exercice du jeu public en Italie. La règle établit également que les principes européens valent comme critère d'interprétation préférentiel des règles imposées à la réglementation des jeux de hasard dans notre système juridique. L'article 5 indique les sources qui réglementent la réglementation des jeux en Italie, établissant également que toute modification de la réglementation actuelle ne peut être introduite que si elle est explicitement signalée. Par ailleurs, l'article introduit des règles visant à garantir le principe de stabilité des règles de concession. L'article 6 réglemente le fonctionnement et la collecte des jeux publics à distance avec des prix en espèces, et le système de concession associé. En référence à cet article, il estime opportun de procéder à une enquête plus approfondie afin de déterminer si la limite de cinq concessions par groupe de sociétés s'applique aux jeux mentionnés dans les lettres à être soumises. a) à g) du paragraphe 1 pris individuellement ou ensemble et si le calcul des cinq concessions inclut également les jeux mentionnés dans les lettres à être h) annonce l). L'article 7 impose aux concessionnaires autorisés à collecter à distance les jeux publics de suivre les paiements et les gains résultant de l'encaissement des paris ainsi que les compensations dues aux sujets évoluant dans son réseau. A cet égard, il souligne que les dispositions en question ne précisent pas quelles méthodes de traçage doivent être utilisées pour garantir les finalités indiquées par la loi. L'article 8 identifie les conditions minimales à introduire dans les clauses relatives aux pénalités contractuelles incluses dans les schémas d'accord relatifs aux concessions de collecte à distance des jeux publics. L'article 9 prévoit le transfert d'une concession pour la collecte de jeux publics à distance doit être autorisée au préalable et expressément par l’Agence sous peine de nullité. L'article 10 réglemente les cas de renégociation de bonne foi des conditions contractuelles. Selon lui, il pourrait être opportun d'expliquer, comme dans les cas visés à l'article 9, le type d'acte réglementaire en vertu duquel une compensation peut être reconnue en cas de survenance d'une oncération excessive. L'article 11 prévoit que l'attribution de la concession entraîne le transfert des risques au concessionnaire. opérationnel lié à sa gestion selon les règles du Code des Marchés Publics. L'article 12 confie à l'Agence des Douanes et des Monopoles la tâche d'adopter les règles techniques minimales sur la base et en application desquelles chacun des concessionnaires prépare et met en exploitation son propre réseau. télématique ou infrastructure matériel e ,software de transmission de données nécessaires à la gestion opérationnelle de la concession, aux fins de poursuivre la sauvegarde et la protection de certains intérêts généraux. L'article 13 confie à l'Agence des douanes et des monopoles la tâche d'établir et de tenir à jour le registre d'enregistrement des propriétaires revendeurs., ordinaires ou spéciaux, des types de monopoles autorisés pour la collecte de jeux publics, ainsi que des sujets qui exercent les activités de points de vente complémentaires. L'article 14 clarifie les principaux objectifs de la réglementation des jeux de hasard, qui consistent à rechercher une protection complète et fiable de la santé du joueur par des mesures appropriées pour prévenir toute modalité de jeu susceptible de générer des troubles pathologiques du comportement ou des formes de dépendance au jeu, également grâce à l'utilisation de l'intelligence artificielle. Il crée ensuite un conseil permanent des jeux publics admis en Italie, dans le but de suivre le déroulement des activités de jeux et leurs effets sur la santé des joueurs, ainsi que de proposer au gouvernement des mesures et des interventions appropriées dans le but de lutter contre le développement de dépendance au jeu. L'article 15 identifie les critères qui doivent éclairer les formes d'organisation du concessionnaire et ses outils techniques., technologique et informatique dans le but de protéger et de protéger le joueur, de prévenir et de combattre le jeu pathologique. Elle oblige également les concessionnaires à investir chaque année une somme égale à 0,2 pour cent de leurs revenus nets, en aucun cas ne dépassant 1.000.000,00 XNUMX XNUMX euros par an, dans des campagnes d'information ou des initiatives de communication responsables. Enfin, il crée une commission gouvernementale opérant au sein du Département de l'information et de l'édition de la Présidence du Conseil des ministres dans le but d'identifier les questions sur lesquelles les campagnes d'information et les initiatives de communication susmentionnées doivent se concentrer, sans charges nouvelles ou plus lourdes pour les finances publiques. . L'article 16 énonce des dispositions concernant la responsabilité pour l'offre et la collecte de jeux à distance effectuées par le concessionnaire. L'article 17 laisse la définition des aspects détaillés des gains au règlement de chaque jeu, les éventuels remboursements, ainsi que la conservation par le concessionnaire des données et informations relatives aux gains. L'article 18 impose au licencié l'obligation de pourvoir au paiement des gains en espèces des jeux qu'il gère. L'article 19 délègue au règlement des jeux la définition des communications des résultats des jeux sur le site informatique du concessionnaire.. Rappelle, en référence à cet article, que le terme « jeux à cotes » ne figure pas parmi les définitions visées à l'article 2. L'article 20 réglemente la maintenance des produits de jeux. L'article 21 dicte des dispositions destinées aux concessionnaires de jeux numériques et de loteries à tirage instantané, aux fins de collecte à distance des jeux précités. L'article 22 contient des dispositions visant à lutter contre l'offre de jeux à distance en l'absence de concession, en ajournant la définition de celle-ci à une réglementation spécifique. L'article 23 contient les dispositions transitoires et finales, tandis que l'article 24 contient les dispositions de coordination. L'article 25 établit que l'augmentation des recettes découlant de l'application de certaines règles de la mesure en question est destinée à augmenter le fonds spécifique établi par la loi de délégation fiscale. L'article 26 réglemente l'entrée en vigueur".

Enfin, le rapporteur rappelle que le délai pour exprimer son avis est fixé au 22 février 2024.

Le Président de la Commission des Finances, Massimo Garavaglia (Lega), a souligné que "la Commission aura besoin de temps pour approfondir les questions innombrables et délicates liées à la fourniture, également pour les profils liés au marché et à la concurrence".

Le sous-secrétaire Sandra Savino il en a pris note.

Le sénateur Orsomarso (FdI) puis informé de l'arrivée de d'autres demandes d'audience, dont il a jugé opportun de donner suite.

Président Garavaglia (Lega) a partagé la proposition et a assuré que d'autres auditions informelles pourraient avoir lieu la semaine prochaine, à une date à fixer.

L'examen de suivi a été reporté.

Article précédentParis Sanremo 2024 : Angelina Mango remplace Annalisa, sur BetFlag elle est désormais la favorite
prochain articleRoyaume-Uni, Gambling Business Group : lancement d’une nouvelle stratégie pour 2024