Le Service du Budget du Sénat et le Service du Budget de la Chambre ont créé le dossier « Vérification des quantifications » sur le « Projet de décret législatif contenant des dispositions relatives à la réorganisation du secteur des jeux, à partir du jeu à distance ».

«Le rapport technique – lit-on dans le dossier -, en référence à l'article 12, affirme que la fourniture et la mise en œuvre des principes et des règles qui y sont contenus n'engendrent pas de charges nouvelles ou plus lourdes pour les finances publiques. En référence à l'article 13, RT précise que la disposition génère des revenus. En particulier, l'inscription au Registre est subordonnée au paiement d'un montant annuel égal à 200 euros pour la première année et à 150 euros pour les années suivantes. Les revenus découlant de cette disposition peuvent actuellement être estimés sur la base du nombre de sujets qui signent des accords commerciaux spécifiques avec les concessionnaires pour exercer l'activité de point de vente complémentaire. En effet, sur la base de la situation actuelle, on estime que ces points de vente pourraient s'élever à environ 30.000 2024 unités, pour un revenu estimé à 6 millions d'euros pour 4,5 et 2025 millions d'euros à partir de 2033 pour chacune des années successivement jusqu'en XNUMX.

En ce qui concerne les profils de quantification - poursuit le dossier - il est souligné que la réglementation confie à l'Agence des Douanes et des Monopoles la tâche d'adopter les règles techniques pour l'exploitation du réseau télématique par les concessionnaires et d'établir et tenir à jour le registre des l'enregistrement des propriétaires de reventes ordinaires ou spéciales de produits monopolistiques autorisés à collecter des jeux publics, ainsi que des personnes physiques exerçant l'activité de points de vente de recharge. L'inscription au registre est soumise au paiement d'une somme égale à 200 euros pour la première année et à 150 euros pour les années suivantes, dont dérive un revenu plus important, quantifié par le rapport technique comme égal à 6 millions d'euros pour 2024 et à 4,5 millions d'euros à partir de 2025 pour chacune des années suivantes jusqu'en 2033. À cet égard, il est souligné que la quantification apparaît vérifiable sur la base des données contenues dans le rapport technique et que la méthodologie utilisée pour les estimations des revenus est cohérente avec celui utilisé dans les rapports techniques précédents concernant des cas similaires. De ce point de vue, il n’y a donc aucun commentaire à faire. En tout état de cause, il convient de noter que les effets sur les recettes sont quantifiés jusqu'en 2033, plutôt que sur une base permanente, vraisemblablement car cette année correspond à la fin d'une concession de neuf ans attribuée en 2024, comme le prévoit l'article 23, paragraphe 3. , de ce décret. Par conséquent, tout en notant le caractère prudentiel de l'estimation, il serait utile d'obtenir des éclaircissements de la part du Gouvernement sur les raisons de cet enregistrement pluriannuel face à une disposition qui n'a pas un caractère permanent".

Ci-dessous le dossier complet :

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