« La loi de 2016 présente plusieurs problèmes. Il obtient un effet éjectif en interdisant de jouer à proximité des points sensibles. Il faut aujourd'hui faire un raisonnement pour le modifier, mais en distinguant les différents points". Il l’a dit dans une interview à La Stampa…

Pour lire cet article

Connectez-vous ou inscrivez-vous

Article précédentParis sur Internet, l'autorité danoise des jeux bloque 16 sites Web
prochain articleCOVID. Grèce : réouverture des salles de jeux et paris, tests obligatoires pour les salariés