IMU. Sénat, Lezzi (M5s) : 'Revoir la couverture facilitée des litiges avec les concessionnaires'

(Jamma) Dans une motion présentée hier par les représentants des M5 Lezzi, Bulgarelli, Bertorotta, Mangili, Molinari, Vacciano, Pepe et Bottici, les sénateurs pentastellati engagent le gouvernement "par rapport à la couverture liée au règlement facilité du différend avec les concessionnaires pour gestion du réseau télématique des jeux licites (article 14), de revoir les conditions à proposer pour la définition, qui assure des recettes plus importantes pour le Trésor public, en considération du montant du crédit réclamé, constaté par arrêt de la Cour des comptes , afin de limiter au maximum les dommages financiers aux caisses de l'Etat ».

Le Sénat,

étant donné que:

– informer le Parlement des effets financiers sur les soldes des finances publiques résultant des mesures financières adoptées avec le décret-loi du 31 août 2013, n. 102 « Dispositions urgentes en matière d'IMU, autres fiscalités foncières, soutien aux politiques du logement et aux finances locales, ainsi qu'aux régimes de fonds sociaux et de retraite », en vertu des dispositions de l'article 10-à, paragraphe 6, de la loi n. 196/2009, loi sur la comptabilité et les finances publiques, le Gouvernement a présenté le Rapport en question ;

– les mesures précitées impactent sur un cadre économique caractérisé par une contraction au premier trimestre de la croissance du PIB à hauteur de 0,6 point de pourcentage, supérieure à celle envisagée dans le Document Economique et Financier, égale à -1,3% pour l'année 2013. En cas le tendance négatif enregistré au premier trimestre, le taux de baisse du PIB pour l'année en cours s'aggraverait à -1,8 % ;

– le Rapport informe que, selon les dernières enquêtes de l'ISTAT, le tendance de la croissance du PIB, qui n'a enregistré qu'une contraction de 0,2 % au second semestre de l'année, symptôme d'un processus de stabilisation progressive du cycle économique, tandis que la nécessité d'adopter des mesures pour relancer l'économie et contrer la baisse la demande de biens et de services, qui s'est avérée moins bonne que prévu, en raison de la politique rigide de consolidation budgétaire adoptée en 2012 par le précédent gouvernement technique ;

– les mesures introduites avec le décret-loi n. 102 en plus de l'annulation déjà annoncée du premier versement IMU pour les propriétés, qui avait bénéficié de la suspension visée au décret-loi n. 54 de 2013 et d'autres concessions IMU pour certaines catégories de propriétés et de contribuables, prévoient :

une nouvelle émission de dette publique à hauteur de 10 milliards d'euros maximum pour l'année en cours pour étoffer les moyens alloués au paiement des dettes passées de l'AP aux entreprises fournisseurs ;

une dotation supplémentaire de 500 millions d'euros pour financer le fonds des licenciements ;

l'allocation de fonds pour soutenir les travailleurs licenciés, qui ont opté pour le licenciement individuel ;

des mesures de politique du logement, à travers l'allocation de ressources pour favoriser l'achat du premier logement, l'accompagnement des locataires innocents en difficulté pour le paiement des loyers, le financement subventionné des crédits immobiliers pour l'achat du premier logement avec l'intervention de la Cassa Dépôts et Crédits , autorisé à procéder à une injection de liquidités en faveur des établissements de crédit, qui adhéreront à l'initiative, la nouvelle réduction du taux du coupon sec de 19 à 15 pour cent appliqué aux contrats à commission convenue ;

– selon l'analyse effectuée par le gouvernement, le montant supplémentaire des paiements de la dette par l'Autorité palestinienne entraînera une augmentation de la croissance du PIB de 0,1 % en 2013, à 0,2 % en 2014, ainsi que les effets d'une croissance plus élevée en la consommation et les investissements par rapport aux prévisions relatives aux paiements autorisés par le décret-loi n°. 35 de 2013 ;

– les mesures adoptées entraînent des charges financières égales à 2.934,4 2013 millions d'euros pour 6, hors charges occasionnées par le paragraphe 9 de l'article 553,3, égales à 2014 millions d'euros pour 617,1 et 2015 millions d'euros pour XNUMX ;

– il est à noter qu'une partie du coût, égale à 1.525 2013 millions d'euros pour 600, est couverte par l'augmentation des recettes estimée à 14 millions d'euros, consécutive au règlement du litige avec les concessionnaires pour la gestion du réseau télématique de les jeux licites (article 925) et 13 millions d'euros, qui devraient provenir des paiements plus élevés de la taxe sur la valeur ajoutée, qu'il est supposé que les entreprises fournisseurs de l'AP paieront suite aux paiements plus élevés des dettes établies par l'article XNUMX ;

– à cet égard, il est estimé que les revenus susmentionnés ne peuvent être considérés comme des couvertures fiables dans quantum, également en raison du fait que le gouvernement lui-même insère la clause de sauvegarde au paragraphe 4 de l'article 15, prévue par la loi comptable et de finances publiques n. 196 de 2009, une clause absolument incompatible avec les objectifs de soutien et de croissance de l'économie, car d'une part une nouvelle dette publique est émise pour payer les approvisionnements antérieurs et soutenir les entreprises en difficulté en raison du manque de liquidités, d'autre part , en cas de baisse des recettes attendues, le ministre de l'Economie et des Finances pourra ordonner d'ici novembre 2013 une nouvelle augmentation du montant des avances IRES et IRAP à verser par les entreprises, par rapport à ce qui a déjà été établi récemment avec le décret- pelouse. 76 de 2013 ;

– par ailleurs, la clause de sauvegarde prévoit également d'éventuelles augmentations des droits d'accises, qui conduiraient à une augmentation inéluctable des prix des biens et services, ce qui réduira les effets de la réduction de la pression fiscale liée à la suppression de l'UMI pour 2013 sur les premières maisons. Le même effet pervers à la réduction de la pression fiscale induite par la suppression de l'IMU sur les premières résidences, que le Gouvernement a annoncé mettre en œuvre à partir de 2014, sera la mise en place de la «taxe de service», qui pour des raisons évidentes devra assurer aux Communes les mêmes revenus que l'IMU supprimée ;

– considérer, entre autres, que tout en étant d'accord avec la suppression de l'IMU pour 2013 sur les biens destinés aux résidences principales, à la seule exclusion des biens de grande valeur, une partie du poids de cette mesure, dans un contexte économique et financier encore hautement critique et imprévisible, tombera sur le système de production, où la clause de sauvegarde susmentionnée sera activée ;

– les autres couvertures financières, égales à 300 millions d'euros pour l'année 2013, consistent en des coupes linéaires des consommations intermédiaires et des investissements fixes bruts des administrations centrales, type de couverture sur laquelle le Gouvernement exprime habituellement son avis négatif lors des travaux des Commissions parlementaires, dès le début de la législature, s'il est proposé de couvrir les amendements présentés par les forces politiques, notamment l'opposition ;

– pour une partie de la charge égale à 675,8 millions d'euros pour 2013, la couverture est donnée par les coupes d'autorisations de dépenses réparties entre les devis, y compris les plus critiques, comme les dotations aux équipements du RFN pour 200 millions d'euros. Dans cette circonstance également, la discrétion du Gouvernement de pouvoir réduire les crédits pour les autorisations légales est mise en évidence, avec une mesure de nécessité et d'urgence, sans attendre une évaluation globale et une rationalisation des ressources budgétaires, comme les temps d'ouverture de la session sont proches du budget avec la présentation de la loi de stabilité pour 2014 ;

Considéré comme :

– globalement, il est évident que les dispositions adoptées avec le décret-loi en cause, notamment la suppression de la première tranche de l'IMU, déjà suspendue, conduisent à des difficultés d'obtention de couverture financière, mettant en péril la soutenabilité des équilibres des finances publiques ;

– il est clair que le forçage effectué avec les mesures adoptées n'est pas le résultat d'une politique économico-financière responsable, visant à la relance économique, mais la réponse forcée aux demandes d'une partie de la majorité du Gouvernement pour la survie de le même,

engage le Gouvernement :

à l'occasion de l'examen de la disposition dans les commissions paritaires de mérite, d'évaluer les couvertures proposées, afin de s'assurer de leur fiabilité, d'éviter l'activation de la clause de sauvegarde, qui opérerait une nouvelle augmentation de la pression fiscale tant pour les contribuables particuliers, tant au détriment des entreprises ;

à éviter, permettant également des modifications du contenu du décret-loi n. 102 de 2013, d'adopter des mesures pour réduire la charge fiscale compensée par l'augmentation des impôts autres que ceux réduits, annulant effectivement la réduction globale du prélèvement fiscal ;

de revoir la clause de sauvegarde, visée au paragraphe 4 de l'article 15, concernant l'éventuelle augmentation du montant de l'avance IRES, qui, déjà porté de 100 à 101 pour cent par l'article 11, paragraphe 20, du décret-loi n . 76 de 2013, récemment approuvée, prend la forme d'un "prêt forcé" de liquidités à l'Etat aux dépens des entreprises, sans paiement d'intérêts ;

évaluer de manière impartiale la couverture des propositions d'amendement des autres forces politiques, si elles sont homogènes et conformes à celles proposées par le gouvernement, pour permettre que le rejet ou l'approbation de celles-ci résultent de la volonté politique exprimée par les membres du Parlement, sans l'influence de l'avis défavorable du représentant du gouvernement ;

à l'occasion de l'adoption de nouvelles mesures en matière fiscale lors de la session budgétaire, de favoriser l'adoption de mesures moins incisives mais suffisamment couvertes pour réduire la pression fiscale et qui ne compromettent pas le respect des objectifs de consolidation budgétaire, et, en outre, avoir pour objet concret des effets de redistribution plus équitable de la charge fiscale entre les groupes de contribuables, afin de respecter le principe d'imposition progressive inscrit dans la Constitution ;

d'éviter le recours au décret d'urgence, d'introduire d'importantes modifications "extraordinaires" de la législation fiscale, compte tenu de l'opportunité d'un large débat parlementaire sur le nouveau système fiscal, et en particulier, sur la réorganisation de la fiscalité des biens immobiliers , également en raison de l'examen simultané par la Commission des Finances de la délégation fiscale au Gouvernement ;

en ce qui concerne la couverture liée au règlement facilité du litige avec les concessionnaires pour la gestion du réseau télématique de jeux licites (article 14), de revoir les conditions à proposer pour le règlement, ce qui assure des revenus plus importants pour le Trésor public, en considération du montant du crédit réclamé, constaté par un arrêt de la Cour des comptes, afin de limiter au maximum le préjudice financier pour les caisses de l'Etat.

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