(Jamma) « Cette recherche nous a coûté beaucoup de travail, nous voulions qu'elle soit la nôtre, qu'elle soit le résultat de quelque chose que nous, en tant que SIIPaC, recherchions depuis un certain temps. Nous travaillons dans le domaine du jeu pathologique depuis des années. Nous voulions une recherche qui était un…

Pour lire cet article

Connectez-vous ou inscrivez-vous

Article précédentGênes. Manifestation hier contre l'extension de la loi régionale contre les jeux d'argent, aujourd'hui la Municipalité en audition en Région
prochain articleLes Italiens et le jeu. De Carlo (Quaeris) : "La majorité des Italiens (62%) ne croient pas à l'interdiction, il faut diffuser la culture du jeu sain"