« Malheureusement, il existe également un préjugé de l’État à l’égard du jeu. Pendant le confinement, plus nous étions fermés, plus les jeux illégaux se développaient. Derrière le jeu, il y a une supply chain, qui possède heureusement aussi un certain savoir-faire qu’il faut valoriser. Traiter avec…

Pour lire cet article

Connectez-vous ou inscrivez-vous

Article précédentGames, de Bertoldi (FdI) : "Nous devons surmonter les préjugés et protéger les entreprises nationales"
prochain articleADM : ordinateurs utilisés pour les jeux d'argent, amende de 225.000 XNUMX euros pour la salle de jeux Caccamo (PA)