L'État italien et les administrations locales visent à réduire l'offre légale de jeux par une série de restrictions allant de la limitation des heures d'ouverture à l'application de distances minimales par rapport aux lieux sensibles. La Suisse, en réponse, se dit…

Pour lire cet article

Connectez-vous ou inscrivez-vous

Article précédentOpération Jackpot, Pucci (AsTro) : "Il est inacceptable d'identifier le jeu légal avec le crime, une plus grande protection pour les nombreuses entreprises saines"
prochain articleCampanie, D'Angelo (Sapar): "La loi sur les jeux approuvée devrait servir de modèle pour les autres régions"