« Il y a des données de recherche qui attirent l'attention des institutions. A ceux qui gouvernent, je demande : est-il possible que dans un phénomène étatique 10% des pratiquants soient problématiques ? Ainsi Paolo Jarre (de la Société italienne de toxicomanie du Piémont et de la Vallée d'Aoste) parlant…

Pour lire cet article

Connectez-vous ou inscrivez-vous

Article précédentISS : la publicité ne touche que 19,3% des joueurs
prochain articleSNAI - Marquez-Hamilton, dimanche en champions : le championnat du monde en couples c'est à 3,50hXNUMX