La tête haute, Simone, salariée du Snai depuis 22 ans, revient sur les sacrifices que le secteur consent depuis des années pour aller de l'avant. "Bonjour, je m'appelle Simone, employée Snai depuis 22 ans, des gens qui malheureusement ou heureusement ne connaissent pas le…

Pour lire cet article

Connectez-vous ou inscrivez-vous

Article précédentLA TÊTE HAUTE. "Parfois, j'ai honte d'être italien". Écrit Claudio, joueur
prochain articleLA TÊTE HAUTE. "Les structures de jeux sont en mesure d'assurer une sécurité et une hygiène maximales". La lettre d'Andrea, employée dans une salle de bingo à Cesenatico (FC)