La tête haute, Fabrice, gérant de boulodromes, met en avant le malaise dû à la non réouverture de ses activités. « Je gère des salles de quilles depuis plus de 32 ans et je suis surpris que personne ne parle de nos activités. Nous étions fermés pour…

Pour lire cet article

Connectez-vous ou inscrivez-vous

Article précédentLA TÊTE HAUTE. "Les salles de jeux ne sont pas des lieux de perdition". Le déchaînement de Maria, employée dans une salle de jeux
prochain articleLA TÊTE HAUTE. "Regardez-nous comme des alliés de l'État, pas comme des ennemis." Écrit Angelo, gérant d'un centre de paris Planetwin365 à Monopoli (BA)