Giorgio Grassi est depuis quelques mois président d'une équipe qui se porte bien dans un championnat, la Serie C, qui au contraire va mal, pleine de problèmes pour lesquels aucune solution n'est envisageable. Ce qui compte le plus, c'est le…

Pour lire cet article

Connectez-vous ou inscrivez-vous

Article précédentVarese, le conseiller provincial Bertocchi (Pd): lutte contre le jeu pathologique, réglementation unique Luino un exemple
prochain articleSNAI, Ligue Europa : bis Milan à 1,45h2. Lazio à Francfort, un "XNUMX" en montée.