« La santé publique est la priorité absolue. Avec les nouvelles dispositions, l'urgence pour l'économie a également changé de rythme et les dommages pour les entreprises risquent d'être incalculables ». Ainsi Patrizia De Luise (photo), présidente nationale de Confesercenti. « Nous sommes confrontés…

Pour lire cet article

Connectez-vous ou inscrivez-vous

Article précédentUrgence coronavirus, même les Casinos de Venise et Saint Vincent fermés jusqu'au 3 avril
prochain articleCoronavirus, Abi et les associations professionnelles mettent à jour et renforcent les moratoires pour les PME. Confcommercio : « L'accord a une portée nationale »