« Les paramètres et leviers de la nouvelle loi de finances sont actuellement en discussion. En outre, des articles de presse suggèrent que parmi les mesures visant à obtenir des ressources, des initiatives réglementaires sont à l'étude pour mettre en œuvre seulement une partie des mesures envisagées par la réorganisation prévue de la Délégation Fiscale. En fait, nous parlons de réorganisation du site en ligne mais pas aussi une réorganisation du territoire. Sans rien enlever à l'importance d'une réorganisation du secteur en ligne, en prenant des mesures surtout en cas d'urgence pour l'acquisition de ressources dans la loi budgétaire, il faut rappeler que procéder de manière non uniforme dans la mise en œuvre de la Délégation Fiscale peut signifie concrètement infliger des sanctions indirectes au réseau généraliste du territoire qui est au contraire protagoniste de la poursuite des principaux objectifs d'intérêt public qui sous-tendent l'existence du secteur lui-même". Ainsi dans une note commune Acadi, AsTro, EGP et Sapar.

« Ce n'est pas un hasard si la Délégation Fiscale a envisagé une réorganisation globale et compacte du secteur, tant pour la partie engagée dans la distribution des produits de jeux de l'État sur le territoire que pour la partie engagée dans la distribution des produits de l'État sur le web. Ce n'est pas un hasard si récemment, le 7 novembre, lors de la conférence de l'Institut Friedman dans la Sala Regina de la Chambre, les associations professionnelles consultées (Acadi, Astro, EGP et Sapar) ont demandé à l'unisson une réorganisation compacte (tant pour la ligne Hon que pour pour le territoire, sans décalages temporels), alertant sur les conséquences possibles d'éventuels départs différenciés.

Partir d'une réforme incomplète - poursuit la note - et mettre en œuvre une réorganisation par étapes risque d'annuler en totalité ou en partie même les objectifs de finances publiques poursuivis au cours de cette phase. Et en effet, s'occuper uniquement du online, sans prévoir simultanément la réforme physique et la solution de la question territoriale, laissant ainsi l'offre de l'État sur les territoires à la merci des télémètres d'expulsion et des calendriers insoutenables sans perspective concrète et immédiate de réorganisation, signifie affaiblir la partie du système qui assure dans une large mesure les principaux objectifs d'intérêt public en termes de protection des utilisateurs, de légalité et d'emploi. Donc pas seulement pour des raisons de risque de cannibalisation de l’offre. Entre autres choses, en cas de déplacement de la demande de jeux locaux vers les jeux en ligne, les mêmes niveaux de recettes fiscales ne seraient pas garantis.

Et c’est ce que disent les chiffres du secteur, lorsqu’on compare la contribution du territoire au total du secteur. L'offre générale des bars et buralistes dans les territoires - soulignent les associations - est en mesure d'assurer une protection massive de la légalité, avec la présence de produits de jeux d'État dans 75.000 points (dont 41.000 bars) dans 6.044 des 7.901 communes italiennes. La même offre généraliste en machines de jeux assure un revenu important des salles d'arcade de 5,9 milliards d'euros (sur les 11 produits de l'ensemble du secteur) et fait travailler avec les autres chaînes d'approvisionnement de la région à 140.000 150.000 salariés sur les XNUMX XNUMX estimés de l'ensemble du secteur. .

De la même manière, les petites et moyennes entreprises qui gèrent des machines de divertissement avec ou sans prix en espèces constituent un garant de la légalité, une voix importante pour le Trésor et une valeur d'emploi de premier niveau. Il s'agit d'un système d'entreprises profondément enracinées sur le territoire et qui représentent la première ligne de l'État en matière de légalité et de prévention du jeu problématique. Une réforme mal alignée et partielle - ajoutent les associations - est une réforme qui risque de pouvoir réduire, comprimer, limiter ou, d'une manière ou d'une autre, pénaliser indirectement la présence du réseau généraliste actuellement enraciné dans les territoires : il y a donc le risque de compromettre les intérêts les dispositions constitutionnelles pour la protection de la santé et de la foi publique de l'utilisateur (créées avec une offre mesurée et contrôlée par l'État et gérée par des opérateurs experts), la protection de l'ordre public dans les territoires comme la prévention du blanchiment des produits des activités criminelles (avec la présence réelle, visible et effective), des recettes fiscales (dont on se souvient comme émergentes) de l'emploi (assuré jusqu'à présent en fait dans toutes les régions de l'Italie).

En définitive, la protection des territoires, comme du web, par l’État et l’armée de ses représentants du service public ne doit pas reculer. Et cela ne doit pas se produire même pour des raisons indirectes ou pour des applications désordonnées, non homogènes et non compactes de la Réorganisation que, sagement, la Loi de Délégation a traitée sans donner la priorité ou sans marquer la prédominance d'une quelconque distribution verticale, en raison de la reconnaissance l'importance du mix d'offres publiques consolidé au fil du temps pour la poursuite des intérêts publics évoqués", concluent les associations.

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