« Nous ne faisons pas que des jeux, mais aussi du divertissement. Lorsque vous faites du divertissement, il ne peut y avoir de maladie. La dépendance au jeu est devenue un véritable problème dans notre secteur, mais la dépendance au jeu ne peut être résolue en taxant le secteur ou en réduisant les paiements. Ainsi, l’effet inverse est obtenu, disent les psychologues. Le jeu était un jeu, maintenant ce n'est plus comme ça. Nous voulons que cela redevienne un divertissement. Soyez prudent lorsque vous associez le jeu à la drogue et à la prostitution, car les drogues et la prostitution sont illégales, alors que le jeu est légal. Nous voulons une réorganisation culturelle du jeu, nous ne sommes pas méchants. Nous faisons ce que l’État nous a permis de faire, dans le respect des règles. Nous sommes contre les jeux illégaux, tant pour des raisons économiques que d’image. Nous en avons assez d’être pointés du doigt comme le mal du troisième millénaire. Nous sommes des personnes, pas des chiffres écrits sur une feuille de papier qui font du mal."

Il a dit Clou Gianmaria (sur la photo), président du CNI, intervenant à Naples lors de la conférence organisée par l'Association italienne des gestionnaires de paris sur le jeu légal et le respect des règles.

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