Il appartiendra aux Sections Unies de la Cassation de s'exprimer sur le bien-fondé de l'extinction de la société, la succession de l'actionnaire universel en application de l'article 100 du code. proc. civ., l'intérêt à agir du créancier, l'allégation et la preuve de la qualité de l'actionnaire successeur, la charge de la preuve du créancier, la charge de la preuve de l'actionnaire successeur (également par exception), la nécessité ou non pour la répartition de l'actif définitif, la présence d'actifs et de droits non repris au bilan de liquidation de la société éteinte.

L'histoire met en scène un entrepreneur, ancien actionnaire d'une société impliqué dans une inspection effectuée par l'Agence dans un bar géré par la société elle-même avec des machines d'amusement non connectées au réseau AAMS-SOGEI qui s'est terminée par la contestation de l'irrégularité susmentionnée.

Dans le pourvoi en cassation, le contribuable a plaidé son défaut de légitimité passive puisqu'en 2008, année d'imposition soumise à réimposition, le seul assujetti était la société, qui avait été radiée du registre des sociétés en 2011. Sur le fondement de cette condition, selon l'appelant seule la société pouvait être sanctionné, et l'avis d'imposition aurait dû motiver l'extension de la responsabilité à sa personne

en tant qu'ancien actionnaire unique de la société disparue.

Le juge de première instance a tranché et a rejeté l'appel au motif que l'impôt avait été éludé en 2008, alors que la société n'avait pas été dissoute et que l'associé unique et liquidateur était au courant de l'évasion, puisqu'il avait personnellement a signé le rapport avec lequel le manque de connexion des machines au réseau a été vérifié. En outre, l'avis d'imposition avait été notifié au contribuable non seulement en tant que liquidateur, mais également en tant qu'actionnaire, avec une responsabilité conjointe et solidaire en vertu de l'article 2495 du Code civil italien. civil. pour les obligations sociales après l'extinction de la société, n'ayant pas documenté qu'à partir du bilan de liquidation, il n'avait obtenu aucune distribution d'actifs. Le processus argumentatif et les conclusions du CTR ont été pleinement partagés par le juge d'appel.

Le contribuable avait interjeté appel auprès de la Cour suprême contre cette décision.

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