Avec la publication, la semaine dernière, des Lignes directrices sur la promotion et la publicité des jeux légaux par l'autorité de communication, la question de ce qui est autorisé selon la législation italienne aurait dû être définitivement close. Ça irait, ça va…

Pour lire cet article

Connectez-vous ou inscrivez-vous

Article précédentInstitut Milton Friedman : Ortombina nouvelle responsable des politiques sociales et du volontariat
prochain articleAbbaticchio (Italia in Comune) : "Un État qui dépend des revenus du jeu n'a pas d'avenir"