« Il est actuellement impossible d’obtenir l’autorisation requise. Il existe aujourd’hui un vide réglementaire, encore plus paradoxal après que la Commission européenne a souligné l’importance de l’Esports. Je pense qu'à l'heure actuelle, 90 % des gestionnaires de salles LAN n'ont pas l'intention de vivre dans l'ombre. Il existe actuellement diverses tables techniques et des questions parlementaires ont été organisées à ce sujet. Nous essayons de comprendre quelles règles techniques mettre en œuvre. Des propositions législatives ont également été présentées pour tenter de donner une forme juridique à cette question. Aujourd’hui, le jeu vidéo en tant que tel n’a pas sa propre discipline. Dans les jeux avec gains en cash la possibilité de récupérer le jeu n'est limitée qu'à certains concessionnaires, les jeux sans gains en cash font partie d'une réalité totalement différente. Nous devons travailler sur la réglementation et les définitions des appareils." L'avocat l'a dit Nicolas Travia, associé directeur du cabinet d'avocats Lorenzoni, Babel UniFi Postdoc et co-fondateur de BlockchainEdu, interviewé sur l'affaire LAN-gate lors de Virtual Gol.

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