Le Conseil d'État a rejeté par deux arrêts similaires le recours d'un célèbre concessionnaire de jeux publics contre la province de Bolzano pour l'annulation de l'arrêt du TAR concernant le télémètre.

Le Conseil d'État a considéré que « le cadre réglementaire et jurisprudentiel permet expressément aux Régions d'intervenir en prévoyant des distances minimales par rapport aux lieux sensibles pour l'exercice d'activités liées au jeu légitime, en identifiant également des lieux autres que ceux indiqués par le décret législatif 158 de 2012, comme converti.

L'identification de lieux sensibles, dans la limite du non-déraisonnable, ne peut manquer de relever de la discrétion du législateur, dont les appréciations pourraient bien, par exemple, être liées à la conformation territoriale spécifique. Ce n'est pas un hasard si l'arrêt de la Cour constitutionnelle en question a observé que les choix régionaux sur ce point étaient très diversifiés et que ce n'est que pour certaines localités qu'il y avait une inscription constante dans la liste, tandis que les évaluations spécifiques des différentes régions n'étaient pas rares (pensez à les gares routières ou ferroviaires).

Dans ce cas précis, ils ont « une utilité publique, étant des établissements socio-sanitaires psychiatriques destinés à des personnes en situation de handicap ou d'inconfort physique ».

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