« Dans la recherche présentée aujourd'hui, nous obtenons des résultats très cohérents avec ceux que nous avons apportés ces dernières années. Il en ressort qu’une partie importante de la population adulte joue régulièrement et que le jeu est considéré comme une forme de divertissement. Le thème fondamental est que l’élimination du jeu légal implique un contrefactuel qui n’est pas l’absence de jeu, mais un flux vers des canaux illégaux, souvent activés inconsciemment par le consommateur. L'objectif de la régulation doit être de mettre sur le marché des entités compétentes, crédibles et responsables, qui savent gérer les activités de jeux tout en protégeant le consommateur".

Il a dit Raffaele Oriani (sur la photo au centre), doyen et professeur ordinaire de finance d'entreprise à la Luiss Business School, intervenant à Rome lors de la conférence « Giocare da grandi. Jeux publics et autres formes de divertissement », organisé par Formiche en collaboration avec SWG et IGT Lottery.

Article précédent« Jouer comme les adultes », Murelli (Lega) : « Il doit y avoir un jeu équilibré et conscient »
prochain article« Jouer comme des adultes », Budelli (PG Esports) : « L'Esport donne une perspective extrêmement positive sur les problématiques liées à l'addiction au jeu »