Rome. La Guardia di Finanza découvre une fraude en '10 e Lotto'; enquêté sur 22 personnes

(Jamma) Ils avaient imaginé un système original pour escroquer l'Etat, à travers des paris sur le « 10 e LOTTO», contre laquelle aucune somme n'a été versée, grâce à la complicité du gérant d'un magasin de paris Settebagni à Rome.

Une organisation spécialisée a été démantelée par les financiers du commandement provincial de Rome, au terme d'enquêtes laborieuses coordonnées par le parquet de Rome (procureur adjoint Nello ROSSI et procureur adjoint Eugenio ALBAMONTE) et menées par l'unité de police fiscale de la capitale.

Les enquêtes ont été déclenchées à la suite de la plainte déposée auprès de la Guardia di Finanza en avril 2012 par le directeur régional pour le Latium de l'AAMS (anciennement l'administration autonome des monopoles d'État, ultérieurement fusionnée avec l'agence des douanes et des monopoles), qui avait constaté, lors d'une boutique de paris, une augmentation anormale des collectes, en ce qui concerne le "10 e LOTTO», ayant réalisé, en quelques heures, des paris pour environ deux millions d'euros.

 

Les suspects - au nombre de vingt-deux au total - sont inculpés, pour diverses raisons, des délits d'association de malfaiteurs visant à escroquer par accès non autorisé au système informatique, escroquerie informatique, recel et usurpation d'identité.

L'association a agi grâce à la complicité du gérant de la boutique de paris, avec la "précieuse" collaboration des autres membres du groupe, habiles à utiliser les bornes de jeux. Notamment, le gérant de la boutique de paris avait fait le « 10 e LOTTO», leur permettant d'insérer de nombreux paris en imprimant les reçus relatifs, ce qui permettait ensuite d'encaisser les gains, qui variaient de 240 et 480 euros.

 

Pour les gains plus élevés, pour lesquels il y a au contraire obligation d'identifier les détenteurs des reçus présentés à la collecte, les membres de l'organisation avaient "réservé" 250.000 XNUMX euros supplémentaires.

Afin d'échapper à ses responsabilités, le gérant de la boutique de paris, conscient que le volume inhabituel de paris aurait éveillé les soupçons de l'AAMS, avait astucieusement déposé plainte pour vol du système de vidéosurveillance des locaux, signalant que certaines personnes, équipé avec LOTTOMatica et STATE MONOPOLIES, s'étaient présentés à la boutique de paris et, avec l'excuse de l'entretien de l'équipement, avaient joué de nombreux jeux sans payer les montants relatifs.

Cependant, les Flammes Jaunes de l'Unité de la Police Fiscale de Rome ont réussi à reconstituer toute l'histoire, en vérifiant également l'utilisation de cartes téléphoniques enregistrées à des personnes inexistantes ou complètement inconscientes, fonctionnelles pour rendre difficile pour les enquêteurs l'identification des membres de la groupe.

Les paris frauduleux ont été quantifiés à environ 2 millions d'euros et les gains indûment encaissés s'élèvent à environ 200.000 XNUMX.

Ces dernières années, il y a eu une escalade des escroqueries contre le Trésor, en relation avec le secteur des jeux, des loteries et des compétitions de paris.

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