Le Tribunal de Cosenza a ordonné l'annulation de l'amende de 20.000 euros prononcée contre le propriétaire d'une entreprise qui opère dans la gestion de machines à sous pour l'installation de machines à sous irrégulières de type totem au sein d'un établissement commercial.

L'affaire fait référence à la violation litigieuse qui sanctionne l'installation de postes informatiques connectés à Internet, à travers lesquels il aurait été possible d'accéder au portail web équipé, entre autres, de jeux promotionnels.
En particulier, la plainte a été déposée contre le propriétaire de l'entreprise commerciale, en tant qu'exploitant de l'activité commerciale dans laquelle, suite à des activités de contrôle, le personnel de la Police Financière avait trouvé, en 2016, trois appareils nommés
« Totem » et étendu au propriétaire d'une entreprise, qualifié de propriétaire des appareils.

Pour le juge du tribunal calabrais face aux urgences de l'enquête et indépendamment de tout
évaluation et évaluation de la conformité des trois totems avec les dispositions réglementaires qui réglementent les activités de jeux et paris, il faut considérer, avec efficacité absorbant tout autre motif d'opposition, que leADM n'a pas fourni de preuve, qui reposait sur elle, de la responsabilité de l'opposant pour les violations litigieuses puisque ni la propriété de l'équipement par l'entrepreneur ni l'installation et/ou la gestion de celui-ci par l'opposant n'avaient été démontrées.
Il convient en effet de rappeler que l'art. 23 derniers co. de la loi no. 689/1981 prévoit l'acceptation
de l'opposition « lorsqu'il n'y a pas suffisamment de preuves de la responsabilité de l'opposant » ce qui
doit être fourni par l’autorité administrative qui prononce la sanction.

Concrètement, le litige reposait sur les déclarations faites par le propriétaire du bar qui avait fait référence au propriétaire de la société de gestion.

Il est cependant ressorti de l'enquête que la personne qui avait fait installer les totems était une autre personne qui, entendue comme témoin, avait expressément déclaré que les stations web étaient sa propriété et que c'était lui qui les avait fait installer alors que l'entreprise, qui disposait en bar de quelques créneaux, il s'occupait de l'entretien de ses machines puisqu'il se rendait souvent à l'étranger pour "augmenter ce business". Plus précisément, le témoin a rapporté qu'il avait personnellement installé les appareils de concert et avec l'aide du frère du commerçant, qui n'avait aucun lien avec de telles activités et s'occupait principalement du bar. Enfin, le témoin a déclaré que l'entrepreneur lui avait "demandé des assurances sur la légalité des activités réalisées avec" les trois totems "car comme ses créneaux étaient également à proximité, il craignait qu'ils puissent également attribuer la propriété et la disponibilité des totems". à lui".

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