La Cour de cassation a rejeté le recours d'un gérant de machines à sous qui a été sanctionné comme propriétaire de machines installées dans un établissement commercial de la municipalité de Palestro, PV, en violation de la distance minimale de 500 mètres des lieux sensibles.

Le jugement naît de l'opposition proposée par l'opérateur contre l'ordonnance d'injonction par laquelle le Service Intercommunal de Police Locale Lomellina Ouest - Commune Palestro l'a accusé, comme solidairement responsable avec l'opérateur, de la violation de l'article 5, paragraphe 1 ter du LR. 21.10.2013 n.8 pour l'installation de machines à sous dans les locaux en violation des distances établies par la résolution du Conseil Régional du 24.1.2014.
Lors du contre-interrogatoire avec la municipalité de Palestro, l'opposition a été rejetée par le juge de paix et la décision a été confirmée par le tribunal.

Pour la Cour de cassation, ce qui a été établi par la Cour d'appel est confirmé, à savoir qu'en 2016 un nouveau contrat a été stipulé entre le concessionnaire et l'opérateur qui comprenait non seulement l'autorisation de connexion télématique mais aussi l'installation et la mise à disposition de les appareils pour leur utilisation dans les locaux de l'exploitant.
Ce contrat n'était pas seulement entre le gestionnaire et l'opérateur mais a remplacé le contrat précédent de 2012, intégrant le cas prévu par l'article, paragraphe 1 ter, lettre b) de la loi régionale n° 8 de 2013.

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